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Julien en privé
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2 avril 2007

Jehro

Voilà, un nouveau concert à notre actif...

La dream team des concerts 2006, 2007... Était présente hier soir au concert de Jehro.

jehro02

Un vrai enchantement, du rythme...

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Quelques minutes de bonheur partagé par tous les heureux participants à cette magnifique soirée...

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Rythme et envie de partager et une conclusion en forme d'appel à la tolérance et au partage en ne votant pas Sarkozy aux prochaines élections !

Mais qui est-il?

Jehro, de son vrai nom Jérôme Cotta, est un auteur compositeur interprète né à Marseille. Son univers se situe au juste milieu de Bob Marley pour les sonorités reggae et Ben Harper pour la voix et l’acoustique. Mais là où est Jehro est fort, c’est qu’il a intégré à cette logique implacable un troisième pôle : des rythmes et sonorités latines ou évoquant les caraïbes. Résultat : des influences multi-ethniques pour un maximum d’exotisme.

Jehro est une sorte de baroudeur. A 20 ans, parti en Angleterre, il partage plusieurs logements de fortune, plus communément appelés squats, avec des artistes de nationalités diverses (Espagne, Colombie, Jamaïque, Afrique..) et de cette rencontre fructueuse, naîtra son intérêt grandissant pour divers styles musicaux (reggae, pop, soul, musiques latines, caraïbéennes, africaines..)

Rentré en France, il perfectionnera son chant et sortira en 1999, un 1er album en langue Française (L'arbre & le fruit chez Chrysalys/Emi). Ensuite, il sera un membre actif de The Marathonians et du concept-album "A tropical soul adventure" -2003 (projet en langue anglaise avec plusieurs interprètes dont Edwin Star, Toots and the maytals, Jodie ,Margot lumley et Jehro qui chante 3 titres de l'album). Suite à cela, débutera l’envie de Jerôme de devenir Jehro et de composer en Anglais.

Le single "Everything", porté par la voix chaude et envoûtante de Jérôme est aujourd'hui un beau succès. Mais, ce titre est loin d’être le seul bijou de l’album qui est gorgé de compositions apaisantes et dépaysantes qui sonnent juste et du premier coup. Ponctué de chansons en Espagnol, « Mama » et « Salima », ce quasi-premier album se clôture avec classe sur une reprise réussie de Stevie Wonder « Master Blaster »

Frais, doux et d’une évidence folle, l’album se laisse écouter et ré-écouter. Si bien qu’on est sûr désormais qu’il passera l’été...

@peluche pour le prochain concert... Jude au Trabendo  ;o)

Ju

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Julien en privé
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